Lu sur le Journal d'Itinérance d'Hugues Bazin le 28 avril 2022
Evelyne Lhoste – Il y a une évolution positive et une volonté de travailler autrement par rapport à 2018, l’année de publication du premier rapport sur les tiers-lieux.
La dynamique, la diversité et le rôle des tiers-lieux sont mieux pris en compte : les lieux intermédiaires et les tiers-lieux alternatifs, oubliés dans le rapport publié en 2018, sont reconnus à leur juste valeur en 2021. La typologie des tiers-lieux est plus proche de la réalité du terrain.
L’État reconnaît aussi leur vocation transformatrice : ce ne sont pas seulement des espaces de coworking et des fab labs, mais aussi des lieux de socialisation.
On y expérimente des solutions à des problèmes locaux. Il s’agit de reconnaître leur rôle dans l’innovation sociale et de les soutenir.
" Le potentiel transformateur des tiers-lieux pourrait faire école si on ne les comprend pas simplement comme des « lieux » accueillant des activités, mais comme des processus instituant des « tiers espaces » en tous lieux."
Evelyne Lhoste – J’aime bien l’expression de « bac à
sable ». Les tiers-lieux répondent à un besoin local. Les politiques
publiques doivent soutenir la structuration d’écosystèmes. Il ne s’agit
pas de reproduire un modèle type, mais de faciliter le partage
d’expérience.
Article complet à retrouver ici.
Comme vous le savez, Prima Terra est spécialiste à l'échelle du monde francophone pour favoriser le "faire école" sur des sujets et pratiques novatrices, voire la création de campus territoriaux.
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_Une veille partagée par Alexis
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